Semi-confinement ou explorations jurassiennes

Mi mars démarre donc cette drôle de période de confinement liée à la pandémie du coronavirus. Nous avons la chance d’habiter dans un pays ou la première vague est assez calme et le confinement modéré.

Nous sortons peu ou pas la semaine, mais le week-end, nous nous échappons en montagne pour des excursions pas trop loin, mais qui font du bien. C’est l’occasion d’explorer en long en large et en travers le proche Jura.

Cabane du Carroz, atteinte un peu par hasard en partant de la Givrine

La semaine suivante, direction le plus haut sommet du Jura suisse : le Mont Tendre et ses 1679m d’altitude.

C’est le printemps
Il reste un peu de neige
Un sommet plutôt débonnaire, comme souvent dans le Jura

Puis voilà le week-end de Pâques. Pas d’escapade dans la Drôme comme planifié quelques mois auparavant, mais une nuit en cabane dans la forêt du Risoux, du côté du lac de Joux. Une petite mission rigolote ; on a même pris le lit pliant du bébé pour s’assurer plus de tranquillité.

Cabane en vue
C’est tout beau, tout propre à l’intérieur
Un peu moins bien rangé le lendemain matin !

Pour finir le week-end de Pâques, on fait exception à la règle avec une journée dans les préalpes fribourgeoises. Direction le sommet du Niremont.

Pique-nique sur le plateau sommital avec pleine vue sur le Moléson et ses 2002m
Il manque encore les bovins pour parfaire le tableau

Début mai nous voilà à nouveau dans le Jura, flirtant avec la frontière française, pour faire une sympathique boucle passant par le Noirmont.

Vue sur le Léman et les Alpes, jusqu’au Mont-Blanc
Et de l’autre côté, le lac des Rousses

Et enfin, pour clore en beauté ce printemps jurassien, nous faisons une nouvelle nuit en cabane dans la forêt du Risoux, mais cette fois avec des amis.

On est dans la place
Pas de fumée sans feu, et pas de cabane de bûcheron sans hache
Margot et sa mascotte Abisko

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