« Je suis né pour te connaître, pour te nommer. Liberté »

En ces tristes jours pour nos libertés, je n’arrivais pas à achever en toute légèreté le récit de nos vacances. Car ce blog c’est aussi nous et nos états d’âmes (qui sont souvent au beau fixe, chanceux que nous sommes d’avoir une vie dorée). Car il y a des faits que l’on ne peut pas ignorer. Faire comme s’ils n’avaient pas eu lieu seraient mentir à nos convictions et à notre amour de la liberté. Oui, les événements ignobles survenus à quelques rues d’un endroit où nous avons habité pendant 3 ans nous ont touchés, émus, choqués, révoltés.

En tant que citoyens français, mais aussi que citoyens du monde, nous aussi, à l’autre bout du monde, du fond du coeur et solidaires, nous sommes Charlie…

Manchette de l’édition du 9/01/2014 de The Press (journal néo-zélandais)